2,63% hors assurance pour un crédit à taux fixe sur 15 ans peut être considéré comme un bon taux par rapport à ceux qui se pratique couramment sur le marché.

Pour l’assurance, ajouter environ 0,30% au taux indiqué.

Les conditions que vous obtiendrez dépendent des caractéristiques de votre dossier et de votre prêt.

2,7% est le taux d’intérêt moyen toutes durées confondues constaté par l’Observatoire du financement CSA/Crédit Logement à fin juillet 2014.

Le record à la baisse de juin 2013 (2,9%) est battu.

Avec cet argent qui n’a jamais été aussi bon marché, les particuliers gagnent du pouvoir d’achat et peuvent plus facilement solliciter un constructeur afin de réaliser leur projet immobilier.

La domotique va devenir de plus en plus présente dans les prestations proposées par un constructeur de maisons individuelles.

Ainsi, le chauffage, les volets roulants, l’alarme, la mise en sécurité des stores en cas de vent violent, la gestion de l’éclairage en fonction de la présence et de la luminosité …. ou encore l’arrosage automatique du jardin peuvent être commandés par tablette ou smartphone .Il est également possible de créer des scénarios.Avec « retour maison », par exemple, l’ouverture du garage et des volets se déclenche automatiquement.

Qu’est ce qui différencie un terrain isolé, en diffus, et une parcelle en lotissement?

Dans le premier cas, votre future maison sera simplement soumise aux règles d’urbanisme de la commune consultables en mairie.

Mais cette parcelle peut ne pas être viabilisée et dans ce cas, vous devrez prévoir les frais de raccordement à l’eau, à l’électricité et à l’assainissement., En lotissement, les règles d’urbanisme peuvent être plus strictes. On peut vous imposer un sens de faîtage des toitures, des couleurs de volets …

Par contre,elles sont livrées bornées, équipées et raccordées aux réseaux.

A noter : les terrains vendus par les membres du Syndicat national des professionnels de l’aménagement et du lotissement sont assortis de nombreuses garanties comme la garantie de surface au mètre carré près.

74% des locataires et 48% des propriétaires d’une maison neuve estiment que leur budget logement a des conséquences importantes sur leur capacité d’épargne, pointe une récente enquête sur Sofinscope/Crédit Agricole.
Ils sont respectivement 67% et 39% à penser que leur dépenses loisirs sont impactées. L’habillement, la santé et l’alimentation font eux aussi les frais de ces arbitrages en faveur du logement.
L’enquête ne précise pas si les personnes interrogées vivent dans le neuf ou dans de l’ancien. Or, en matière de pouvoir d’achat, les constructions neuves bénéficient d’un atout maître : elles sont conformes à la réglementation 2012.
Surisolées, étanches, pourvues d’équipements de chauffage et de ,production d’eau chaude dernier cri, elles consomment trois à cinq fois moins que l’ancien.
Ces charges réduites sécurisent le remboursement du crédit et permettent de mieux faire face aux autres dépenses.
Enfin, les maisons neuves prennent davantage de valeur.
D’après une étude de l’association Dinamic basée sur les données des notaires, celles qui affichent un A ou un B sur le diagnostic de performance énergétique (c’est le cas du neuf) peuvent se revendre jusqu’à 30% plus cher que celles qui sont classées G (la plus mauvaise note) à adresse et surface équivalentes.

Un des premiers principes de l’architecture bioclimatique est le soin apporté à l’implantation de la construction pour tirer des avantages naturels d’un emplacement.

Si terrain en pente, il est possible de tirer parti de celui-ci en enterrant une partie de la maison.Cela permet de réduire les pertes énergétiques liées au climat.En effet, le vent est à l’origine de déperditions thermiques importantes sur les façades exposées.Une maison peut s’en protéger à l’aide du relief du terrain, de la végétation, mais également grâce à sa forme.Les toitures basses détournent le vent et la compacité d’une construction permet de minimiser la surface d’échange avec le milieu extérieur.

Une construction neuve avec une façade sud largement vitrée, donc ouverte et exposée permet de profiter des apports passifs gratuits (lumière et chaleur).De plus, si cette façade s’étend sur une belle longueur, cela lui permet de suivre la quasi-totalité de la course du soleil.

Le soleil est une vrai source de chaleur et d’économie pour votre maison neuve quand on sait le canaliser.La lumière est facile à contrôler et l’ensoleillement est maximal en hiver et minimal en été. En hiver, le soleil bas (+ ou – 17°) pénètre profondément dans la maison tandis qu’en été, le soleil plus haut (+ ou – 60°) pénètre moins profondément. Le rayonnement solaire s’accompagne de chaleur, cet apport supplémentaire est très agréable en hiver, mais peut devenir gênant en été en raison des phénomènes de surchauffe.

De même, prévoir sur la construction de beaux débords de toit permettra de bloquer ou moduler les entrées lorsque le soleil tape trop fort

La RT2012 pose comme obligation pour un constructeur de maisons individuelles un ratio de surfaces de parois translucides égal ou supérieur à 1/6 de la surface habitable..Elle entend favoriser l’apport de lumière en toutes saisons, les fenêtres de grandes dimensions, portes- fenêtres et autres baies vitrées sont également devenues des principales sources d’énergie passives à moindre coût des logements modernes.

Il est intéressant de savoir que chaque surface verticale exposée au sud reçoit 4 à 5 kWh par m² par journée ensoleillée, même en plein hiver sous nos latitudes.En tenant compte du facteur solaire de la vitre (la quantité d’énergie qui traverse effectivement le double vitrage) et, d’autre part des déperditions liées à cette surface vitrée, c’est, en net, 1,6 à 2 kWh par m² par journée ensoleillée qui pénètrent à l’intérieur de la construction. Un radiateur d’appoint fonctionnant quasiment gratuitement, en particulier en demi saison quand la différence de température extérieure-intérieure est modérée. Les premiers centimètres de revêtements du plancher bas (carrelage, parquet…) absorbent directement une partie de ce rayonnement solaire, le reste chauffant l’air intérieur qui va normalement s’orienter vers les pièces froides de la maison.

Les parois intérieures à forte inertie thermiques (murs à isolations extérieures, cloisons, murs de refend, planchers inter-étage…), absorberont les calories, surtout si elles reçoivent directement les rayons incidents du soleil.Elles restituent progressivement au milieu ambiant l’énergie stockée dans les heures suivantes, lissant ainsi les variations de températures (inertie quotidienne en hiver).

De même, la végétation permettra également de protéger la maison d’une surchauffe grâce à l’ombrage des arbres conservés et intégrés à la terrasse. Les dispositions prises pour le confort d’hiver ne doivent pas se transformer en une source d’inconfort en été!

Pour les constructeurs de maisons neuves, un Bbiomax et cmax, modulée selon les régions et les altitudes.Ainsi, pour une construction BBC, la loi définit un « Bbiomax », un besoin en énergie du bâti, à partir duquel on va définir une « Cmax », une consommation maximale d’énergie primaire. Cette consommation est de 50 kWh/m²/an, modulée selon les régions et les altitudes. Elle doit être suffisante pour le chauffage, la production d’eau chaude sanitaire, le refroidissement, l’éclairage et les auxiliaires (ventilateur, pompe). Le générateur de chaleur doit donc être capable de répondre à tous ces besoins avec un niveau de puissance maximale très faible, accaparé en grande partie par la production d’eau chaude sanitaire.

Outre son rôle évident d’intégration paysagère et une certaine contribution à la biodiversité,une construction de maison individuelle avec une toiture végétale présente de nombreux atouts.

Il s’agit par exemple d’une protection contre les chocs thermiques (température entre le jour et la nuit ou lorsqu’une pluie froide tombe sur une toiture chaude), permettant une réduction des variations de température jusqu’à 40%.

L’inertie thermique apportée par la toiture végétale sur la construction permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. Un goudron ou une membrane de toiture exposée au soleil peuvent atteindre une température de 65°C alors que la même membrane recouverte de vegetaux demeure à une température de 15 à 20°C.

La température de la toiture influence la température intérieure de votre construction et donc les besoins en climatisation.

Parallèlement à la construction de votre maison, vous avez l’obligation d’assurer l’assainissement de celle-ci, soit par un raccordement au réseau public d’évacuation d’eaux usées, soit par un assainissement non collectif en l’absence de réseau public. Des dispositifs d’assainissement non collectif et pérennes doivent être mis en place afin de préserver la qualité des eaux et des milieux aquatiques et notamment d’éviter les risques de contamination et de pollution..

Avant tout démarrage des travaux, une étude de filière, réalisée par un bureau d’étude est indispensable pour définir l’installation adaptée à votre terrain et à votre habitation. Cette étude doit être obligatoirement validée par le service public d’assainissement non collectif (SPANC)

La qualité des travaux et le choix des matériaux sont fondamentaux pour le bon fonctionnement et la durabilité de votre assainissement. Le constructeur de votre maison peut se charger de ces travaux.

Toute modification des préconisations de l’étude de filière au moment des travaux engage la responsabilité de l’entreprise.

L’entretien régulier de l’installation est indispensable pour le bon fonctionnement et la pérennité de l’installation.

A toutes les étapes, le Service Public d’Assainissement de votre commune vous accompagne (contrôle de conception, contrôle de bonne exécution, contrôle de bon fonctionnement et d’entretien)

Avec l’arrivée des constructions BBC, les fabricants ont mis de gros moyens de recherche et de developpement sur ces systèmes, entraînant une baisse des coûts sensibles.

Aujourd’hui, ce type de chauffe-eau se trouve dans une fourchette de prix de 1500 à 3000€ pour les modèles hauts de gamme, soit une baisse de 50% en quelques années.

Le chauffe-eau thermodynamiquefonctionne en mode pompe à chaleur jusqu’à une température clémente de l’ordre de +7°C. En deçà, c’est la résistance électrique quui chauffe l’eau par effet joule comme pour le chauffe-eau électrique.

Le constructeur doit porter une attention particulière à l’endroit ou sera installée le chauffe-eau thermodynamique.Il est préferable de l’implanter dans un volume protégé où peuvent se récupérer des calories habituellement perdues : garage,buanderie,local non chauffé tempéré.

Si la température de l’air est ainsi maintenue à 12 ou 15°C à minima alors le COP annuel sera plus proche de 3 que de 2 si le chauffe-eau est installé dans un endroit où la résistance électrique est sollicitée.