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Présenté au conseil des ministres, le 30 juillet dernier, le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte devrait tracer les grandes orientations de la politique énergétique du pays. Parmi les enjeux : le chauffage des bâtiments qui représente chaque année 28% de l’énergie mondiale consommée et s’installe au premier rang des dépenses d’énergie. Un paradoxe pour la France qui dispose de la quatrième surface forestière d’Europe et d’un fort potentiel hydraulique, éolien et géothermique.

La RT2012, dont l’objectif est l’économie de l’énergie, impose aux maisons neuves d’intégrer au moins une énergie renouvelable ou une solution alternative. L’idée? Consommer moins pour se chauffer, se rafraîchir et se ventiler mais également pour s’éclairer et produire l’eau chaude sanitaire de nos nouvelles maisons.

Fixée à 50kWh/m².an, la RT2012 impose trois exigences de résultats : le Bbio, le Cep et le Tic qui expriment, entre autres, les besoins liés au chauffage au regard de l’orientation et de la disposition des ouvertures, de l’inertie et d’une bonne isolation pour limiter les déperditions thermiques.

Car le chauffage est un indispensable de nos habitats. Il contribue à notre confort autant qu’à celui du bâtiment. Les études thermiques permettent ainsi d’en définir les besoins et le rendement nécessaire tout en optimisant la conception architecturale dans le neuf ou en déterminant les solutions adéquates en rénovation pour améliorer les performances énergétiques ; une installation de chauffage de plus de quinze ans consomme beaucoup plus qu’un système récent. Rendu obligatoire depuis l’entrée en vigueur de la RT2012, le test d’infiltrométrie ou « Blower Door » consiste à mettre un bâtiment en dépression ou surpression afin de contrôler la perméabilité à l’air par la localisation des défauts d’étanchéité de l’enveloppe et ainsi traiter les ponts thermiques.

Une bonne isolation couplée à une parfaite étanchéité profite à la qualité de chauffe et à votre bien être dans un environnement sain été comme hiver. Parmi les fondamentaux : la qualité de l’air pour l’élimination des polluants, des excès d’humidité et l’assurance du bon fonctionnement des appareils de combustion.

Le chauffage domestique se positionne ainsi, en tête des préoccupations des ménages. Il existe deux grandes familles : le chauffage pièce par pièce avec les appareils indépendants ou le chauffage central via les chaudières au fioul, au gaz ou au bois, les capteurs solaires ou les pompes à chaleur.

La RT2012 ne prend aujourd’hui en considération que les poêles à bois, pellets ou les chaudières de cheminées ( insert à granulés pilotés par une régulation). Il doit s’agir d’appareils étanches et régulés, identifiés par le label cinq étoiles Flamme Verte. La réglementation thermique impose, en effet, aux équipements de chauffage d’avoir la capacité de s’arrêter et de réguler leur puissance, ce qui n’est pas le cas d’un insert standard ou d’un poêle à bois bûches, qui délivrent toute leur puissance d’un coup sans arrêt ni régulation.

La RT2012 impose en outre, un système de conduit adapté et complètement étanche ayant un avis technique précis. Par ailleurs, les appareils de chauffage au bois prétendent à satisfaire les exigences de la RT2012 comme source d’énergie renouvelable.

Du chauffage par rayonnement au plancher chauffant, les sources d’approvisionnement sont nombreuses et l’offre de chauffage est large ; technologique, économique, esthétique. Quand il n’est pas discret ou invisible, le chauffage s’invite régulièrement dans notre décoration, au milieu ou dans un coin du salon. La cheminée et le poêle à bois rencontrent les hautes sphères du design, parfois à la limite de l’œuvre d’art.

D’un système à l’autre, d’une technologie avancée à un modèle contemporain, les prix oscillent entre quelques centaines d’euros à plusieurs milliers d’euros. Tour d’horizon des différents systèmes de chauffage. D’après l’Ademe, le bois est la source principale ou d’appoint d’une maison individuelle sur deux en France.

Le bois revient en force pour nous procurer la chaleur dont nous avons besoin, grâce à une matière première renouvelable et des appareils de chauffage de moins en moins polluants et très performants; des appareils à alimentation automatique dont l’autonomie et la souplesse d’utilisation sont comparables à  celles des chaudières à gaz ou à fioul. Côté esthétique, quel que soit le bois-énergie privilégié, la vision du feu joue un rôle décisif dans l’acquisition de l’appareil, et la présence de poêles-cheminées sur le marché est toujours plus importante.

La technique la plus courante pour mettre en place votre correcteur acoustique consiste à réaliser une double paroi avec un vide d’air. Remplir cet espace d’isolant permet d’atténuer les réflexions parasitaires et donc de protéger chaque pièce de votre maison.

Pour être efficace, la double paroi doit reposer sur un matériau amortissant évitant la transmission des vibrations par le sol et le plafond.

Les Matériaux sont à choisir selon la construction de vos murs. Les laines minérales sont d’excellents absorbants sonores. La laine de verre bénéficie d’un avantage supplémentaire : elles est efficace même en faible épaisseur, ce qui permet de ne pas empiéter sur votre surface habitable.

Le polyuréthane, sous forme de mousse composite, est très utilisé en isolant acoustique. Sa légèreté assure un confort acoustique optimal tout en garantissant l’isolation thermique.

La ouate de cellulose est facile à appliquer, pour des résultats très convaincants. En revanche, le polystyrène ou les matériaux naturels tels que le chanvre, le lin ou encore la laine de mouton, sont à proscrire en isolation phonique.

Notez qu’il est également possible de coupler votre isolation acoustique à votre isolation thermique grâce à des matériaux thermoacoustique apportant un réel confort de vie. C’est le cas du liège, naturel ou expansé, sous forme de granulés ou de panneaux.

Utilisant des dérivés du bois ou du bois reconstitués, la bardage en panneaux se fixent grâce à des clous ou des vis sur une ossature secondaire, permettant une bonne ventilation de la maison. Afin de garantir leur efficacité, les bardages en panneaux doivent obligatoirement être revêtus d’une finition avec une lasure ou un vernis, sauf si l’essence de bois tolère un usage extérieur ou naturel.

Étant une partie de la maison exposée aux champignons et aux insectes, les panneaux doivent évidemment répondre  aux exigences de la classe 3, car ils subissent une humidification fréquente.

Le pare-pluie est un matériau souple dont la fonction est de protéger les parois extérieures des structures en bois (les murs et les toitures) des éventuelles pénétrations d’eau. Il est perméable à la vapeur d’eau

Le rôle du pare pluie est donc de permettre à la construction d’être protéger de l’eau. Son recours est obligatoire pour les maisons non-étanches (ossature bois) et également pour les bardages à claire-voie.

Il doit être étanche à l’air pour éviter les pertes d’énergie, étanche à l’eau pour éviter les infiltrations et être perméable à la vapeur pour évacuer l’humidité des murs et de l’isolant. Sur les parois verticales, le pare-pluie est obligatoire lorsque l’isolant est directement accessible derrière le revêtement extérieur.

Se plaçant alors entre l’isolant et le bardage, une lame d’air est indispensable pour que le pare-pluie ne soit pas en contact direct avec le bardage.

En rendant le doublage étanche, le pare-vapeur vient limiter l’intrusion de vapeur dans la construction. C’est lui qui assure un habitat sain. On l’appelle également membrane pare-vapeur.

A la différence du pare-pluie, le pare-vapeur est mis en œuvre du côté intérieur, ou du côté chaud ; entre l’isolement thermique et le parement intérieur sur les murs et plafonds.

Son rôle est d’éviter le phénomène de condensation, il protège l’isolant. Il limite les déperditions thermiques à travers la paroi des pièces humides.

L’étanchéité sera assurée par le collage d’une bande adhésive.

Enfin, il ne faut surtout pas hésiter à renforcer les sorties de gaines et de conduits afin d’éviter les déperditions thermiques.

Ce sont deux sortes de polystyrènes différents dans leurs performances thermiques. Le polystyrène appartient à la famille des isolants synthétiques. Il est perméable à la vapeur d’eau. Cependant, pour que le polystyrène soit résistant au feu, il doit être associé à un autre matériau tel que le plâtre.

Le polystyrène expansé se présente le plus souvent sous forme de plaque. C’est un isolant thermique très léger, donc très maniable et facile à poser. Il contient 98% d’air. Pour satisfaire l’isolation phonique, il existe des polystyrènes argentés plastifiés de type dB, PSE Ultra Tha…Le polystyrène est perméable à la vapeur d’eau.

Le polystyrène extrudé est fabriqué comme le polystyrène expansé ; billes mélangées et extrudées avec un agent gonflant (CO² ou gaz HFC). Il convient aux travaux d’isolation thermique. En usage extérieur, il doit être recouvert d’un matériau ignifuge avant d’être fixé.

Le polystyrène extrudé convient aux applications qui nécessitent un comportement à l’eau à long terme.

L’isolation thermique extérieure connaît un grand engouement en France depuis quelques temps. Cette technique est plus coûteuse que l’isolation intérieure mais offre de réels bénéfices énergétiques et donc financiers. Il s’agit de créer une enveloppe isolante autour de l’habitation afin d’éviter les déperditions énergétiques.

L’ITE offre ainsi une meilleure inertie et ce, en toute saison, aussi bien en construction qu’en rénovation. Cette isolation se fixe par collage ou bien mécaniquement avec des chevilles en plastique ; dans tous les cas, elle demande une réfection totale de la façade. Il est également possible de fixer l’isolation sur une ossature secondaire afin de garantir l’architecture initiale de la maison.

Dans le cas d’une rénovation, l’ITE est la solution préconisée qui permet d’offrir à l’habitat un confort thermique et acoustique tout en préservant l’espace intérieur. De plus, cette installation ne nécessite pas de travaux intérieurs et la maison reste alors habitable le temps du chantier, pour un meilleur confort.

L’ITE offre à votre maison des qualités isolantes se rapprochant d’une maison passive ; c’est à dire un bâtiment dont la consommation énergétique au m² est très basse voire entièrement compensée en apports solaires. L’ITE protège les murs des écarts de températures plus efficacement que l’isolation intérieure. De plus, elle offre une inertie parfaite en toute saison.

Deux techniques existent pour équiper sa maison d’ITE. Tout d’abord, l’ITE sous enduit : l’isolant est couvert sous l’enduit qui vient encoller une armature avant de se voir appliquer un enduit de finition. L’ITE sous bardage consiste à insérer l’isolant entre les ossatures bois. Pour vos murs, l’isolation thermique intérieure permet de réduire considérablement votre facture de chauffage en apportant un meilleur confort thermique en saison estivale comme en saison hivernale.

Les ponts thermiques sont supprimés et la chaleur est conservée en hiver alors que votre maison reste fraîche en été. Votre façade est rénovée dans le même temps et vos espaces intérieurs ne sont plus encombrés d’isolant. De plus, cette technique d’isolation est conforme à la RT2012 et est fortement recommandée. Afin de faciliter la mise en place de cette nouvelle réglementation thermique, des crédits d’impôts sont proposés.

Pour un aspect 100% naturel, rien de mieux qu’un bardage 100% bois. Authentique et naturel, le bardage en bois évolue selon son exposition aux intempéries et au soleil. Sa couleur devient petit à petit à petit argentée au fil du temps, une esthétique naturelle très souvent recherchée pour les constructions d’aujourd’hui.

Ce phénomène n’altère en rien la qualité du bois. Les bois peuvent subir en amont un traitement comme l’autoclave, l’oléothermie ou encore le BMT (bois modifié thermiquement).

L’autoclave consiste à imprégner l’essence de produis traitants pour aider à prévenir le développement de champignons et d’insectes. Le BMT prive le bois de son oxygène en le chauffant à très haute température afin de modifier ses caractéristiques mécaniques.

Enfin, le traitement par oléothermie utilise des huiles végétales et adjuvants naturels chauffés  à basse température ; un système aussi performant que l’autoclave mais dans le respect de l’écologie. Ce type de bardage est donc sélectionné pour son esthétisme mais également pour son entretien facile. Aucun entretien n’est nécessaire pour laisser le bois évoluer durablement mais différents traitements sont possibles pour éviter ce grisaillement naturel et préserver l’esthétique de votre bardage : peintures, lasures ou encore huiles et vernis.

Pour un bardage bois réussi, le choix de l’essence est primordial. Pour évaluer la résistance d’un bois, nous parlons de classe d’emploi. La classe d’emploi 1 regroupe les bois d’ intérieur qui ne supportent pas l’humidité et doivent donc rester impérativement au sec. La classe d’emploi 2 s’adresse au bois supportant un taux d’humidité inférieur à 20%. La classe d’emploi 3 représente ceux pouvant occasionnellement supporter 20% d’humidité. Les bois de classe 4 supportent régulièrement 20% d’humidité. La classe 5 représente les bois d’extérieur, pouvant être en contact avec l’eau.

Les essences les plus utilisées sont le pin maritime, le pin sylvestre, le mélèze et le douglas car elles mêlent à la fois l’esthétisme et les caractéristiques mécaniques indispensables à un bardage performant.

Par sa brillance naturelle et son éclat le bardage naturel fait la part belle au bois . Au file du temps, le bois se patine,  il grise en une jolie teinture argentée que l’architecture contemporaine ne manque pas d’apprécier.

Le bardage en bois peut également se décliner sous forme de pré-peint en usine. Il s’agit alors d’un bardage en bois massif sur lequel a été appliqué un traitement de finitions industriels, donnant à la construction un côté tendance et moderne pour tous les amoureux de la couleur. Ce type de bardage demande plusieurs étapes de fabrication qui nous permettent de mieux comprendre ses caractéristiques.

Tout d’abord, le bois est raboté avant d’être trempé dans un bain dont l’objectif est de le préserver des insectes et des champignons. Cette étape permet au bois d’obtenir la classe d’emploi 3 indispensable pour être utilisé en bardage. Ensuite, le bois est séché et brossé afin de faire ressortir les veines, les différentes aspérités du bois. Pour finir, une peinture acrylique microporeuse est appliquée, laissant le bois respirer.

Trois couches de peinture sont nécessaires pour finaliser ce type de bardage : une base et deux couches de finitions. Le bardage pré-peint connaît plusieurs avantages. Garantie 10 ans, il protège des rayons UV, il est durable et reste uniforme malgré son évolution face aux intempéries et au soleil. Pour profiter de ces garanties et avoir un bardage performant, il doit posséder un grammage d’au minimum 350gr/m².

Le bardage pré-peint c’est le bardage des amoureux de la couleur. Du bleu au beige en passant par le pourpre et le gris, les teintes sont multiples pour un résultat qui rendra votre maison bois originale.